Mars 2001

Hier soir, Le Zénith ! la gauche plurielle, et Mot’ Salle pleine, des milliers, et des milliers de personnes. J’ai encore rien compris au feuilleton ou j’ai du manquer un épisode. J’étais resté sur l’idée d’une intervention très limitée de

D, réagit à ce que j’ai écrit … Extraits: « La peur, ou les peurs, de passer à côté… de pas tout savoir, d’être récupéré… Au fait ce terme, il veut dire quoi? A force de ne vouloir rien faire qui

Hier, point de campagne au PS à 14h30, Tout les points sont passés en revue, bureau de vote, la presse,le soir des résultats. – Bon, on a fait le tour, là, non? – Hé mais si on gagne? – Ah

En relisant ce que je viens d’écrire, je me rends compte que je ne suis plus du tout dans « mon film », mais alors plus du tout. Il est vraiment temps de poser la caméra. J’en vois le bout. Mardi CA,

Je reviens sur la soirée de dimanche soir. En voyant hier soir la télé, je tombe sur les réactions de Salah, et de l’incommensurable Tayeb. La question des médias est dans ces cas et pour faire vite, « approuvez-vous les casseurs? ».

Voilà, pour le dernier CA, c’est fait. Reste l’espèce d’AG informelle de débriefing jeudi. Puis l’entrée dans la Mairie, vendredi après-midi. Donc, hier, CA, 35/40 personnes. On revient sur terre, c’est un peu douloureux, et en même temps, il semble

Hors Sujet! Je suis devenu un acteur incontournable, du mouvement social, une référence, une balise, et j’aimerais que désormais, ceux qui s’adressent à moi, en tiennent compte ! Tout de même! (Si j’en arrive là, c’est bien la preuve qu’il faut

 Il est des lieux criminels. Une salle basse écrasante, en L, où une moitié ne voit pas l’autre moitié, une sonorisation défaillante, un éclairage glauque, vraiment tout pour réussir une AG. Plus d’une centaine de nouvelles têtes, le but de

Vendredi, dernier jour de tournage. Les 4 Mot’ à la Mairie. Devant la Mairie, vers 14h45, je ne sais pas si je vais pouvoir rentrer, en fait n’importe qui peut rentrer, avec ou sans caméra. Dans la cour, je me

 Dernière fois… Bon voilà, je finis . J’ai fait là, un voyage fou, dans lequel je n’ai pas maîtrisé grand chose, et qui m’a même submergé. Aucun mérite, juste l’envie  d’autre chose pour continuer à vivre. Et alors le désespoir