J’ai la camera, des bricoles à faire dessus, mais c’est un tournant, même si je ne suis pas fétichiste par rapport au matos. Le nombre de merdes qui ont été faites avec un matos fantastique. Reste qu’il faut que tout ça tourne au quart de poil, avant de partir au front. Faut que je m’entraîne, que les dizaines de boutons, me tombent facilement sous les doigts… du moins les courants.

Côté prod, en y réfléchissant, je me demande bien quel producteur s’embarquera dans ce genre d’aventure. Normalement la production se fait dans la semi clandestinité.

Au fur et à mesure que je fais ce site, je me rends compte que je scie la branche sur laquelle je suis assis. Quoique, faut pas rêver, il n’y a ni arbre ni branche, et le temps que ça pousse, le film sera déjà fini.

 

9/02/00